Une démo culinaire particulière !"Le Breakfast anglais revisité en verrine" a pris une tournure particulière cet après-midi. Animée par Calixte de Nigremont, cette démo culinaire s'est déroulée d'une façon plutôt originale grâce à  l'intervention du "Docteur Laurent" qui répondait aux questions du public sur le thème du cholestérol, bon ou mauvais, et qui a ensuite dévié sur la vie privée du chef Pascal Lemort venu de l'Hôtel Club Ker Beuz du Finistère...
Bref, elle aurait pu avoir pour titre "Gastro britannique, groupe sanguin et vie amoureuse d'un breton en Déodatie" !

Nadine Malbrun

Merci au personnel de la VilleLa logistique du Festival de Géographie représente un travail monumental. Parmi ceux qui ont beaucoup travaillé à la réussite de cette édition 2014, il convient de ne pas oublier de saluer le personnel en charge du nettoyage des rues, des espaces et des toilettes, notamment celles de l'Hôtel de Ville et des sites festivaliers recevant du public. Discret et efficace, l'ensemble de ces employés communaux mérite aussi son coup de chapeau.

Josée TOMASI

Mais où est donc passé mon doudou ?Les doudous sont précieux et leur perte chagrine le coeur des enfants . Arthur, le petit singe a été retrouvé sur le FIG, assis au pied d'un arbre proche de l'Espace Mitterrand et du parcours du Salon de la Gastronomie. Il attend son ami (e) au Service Communication de la Mairie de Saint-Dié-des-Vosges où il a trouvé asile.

Josée TOMASI

Vincent Munier ou la vie sauvage"J'ai eu la chance de grandir dans une région où la nature impose la beauté de ses caprices saisonniers, et découvrir ces paysages avec mon père, qui m'a appris à respecter la quiétude du monde sauvage tout en m'initiant à la photographie."

Les photographies de Vincent Munier sont une invitation à découvrir des instants privilégiés, saisis près de chez lui dans ses Vosges natales ou au cours de ses voyages à l'autre bout du monde. Sa première photo animalière, il l'a prise a l'âge de 12 dans la forêt de son enfance. Laissé seul par son père avec un fusil-photographique à la main, il a été surpris par une harde de chevreuils qu'il a saisie au passage. Il le dit lui même, "la photo était floue, évidemment" mais une passion était née. Sa première "grande claque", il l'a eue lors de son son voyage au Kamtchatka, péninsule volcanique de 1250 km de long située en Extrême-Orient russe qui s'avance dans l'océan Pacifique. Ce voyage lui a d'ailleurs inspiré le nom de sa maison d'édition Kobalann - qui signifie 'ours' (signeur incontesté de ce territoire désertique) en langage local. Depuis, il a parcouru le monde à la recherche d'ours polaires, de manchots royaux, de loutres de rivières, de mésanges bleues, de bisons, de lièvres arctiques ou encore de loups blancs (sa deuxième "claque" !) dont il est fasciné et qu'il a passé des semaines à guetter dans le Grand Nord. Cet amoureux des grands espaces, photographe avant tout, ne rend de compte à personne, travaille de manière complètement autonome et "cale" son emploi du temps sur le cycle de vie des animaux. Entre deux expéditions photographiques, il était à Saint-Dié-des-Vosges pour présenter son livre "Solitudes" et son exposition. Un "must see"!

Clémence Daudon

«C'est la télé ?»A cette question, ils ont répondu très souvent non. Ils, ce sont les 16 étudiants de l'IUT de Saint-Dié-des-Vosges, en licence pro ATC, venus prêter main forte au service Communication de la Ville. Encadrés par Denis Bier, responsable de la partie digitale, ils ont alimenté en vidéos la rubrique «Le festival des étudiants» que vous retrouverez en cliquant sur le site dédié au Festival International de Géographie : www.fig.saint-die-des-vosges.fr. Si les débuts ont été parfois hésitants, en à peine trois jours -le temps de la manifestation- ils sont devenus des pros de l'interview et de la caméra. Baignés dans une ville qui vit au rythme du FIG, ils ont vécu des journées bien remplies et surtout enrichissantes. Patrick Schmitt, coordinateur du FIG, est venu remercier Frédéric, Eric, Sarah, Elise, Scott, Jérôme, Jean-Emmanuel, Raphaël, François, Jordan, Quentin, Marion, Gaëtan, Adrien, Camille et Clara. Parce qu'ils le valent bien !

Laëtitia MARTEL

« Et si on redessinait le monde »C'est le titre du livre, paru aux éditions Rue du Monde, qui a reçu ce matin le prix Amerigo Vespucci Jeunesse écrit par Daniel Picouly et illustré des peintures de Nathalie Novi. C'est sous la présidence d'Eliane Raturier et en présence du maire, David Valence, que ce prix, offert par la MAE (Mutuelle Assurance de l'Education), a été remis à Nathalie Novi, en l'absence de Daniel Picouly qui a néanmoins envoyé un joli courrier de remerciements. Le tout en présence des enfants de CM2 (de l'année dernière !) de l'école Jacques-Prévert qui faisaient partie du jury. Cerise sur le gâteau, ce prix a été remis à Nathalie Novi le jour même de son anniversaire. Joyeux anniversaire Nathalie !!!

Fabienne Schneider

Si on chantait...Programme en main, pas mal de figueurs ont commencé à circuler tôt en ville, ou en extérieur, par exemple à Taintrux où le bièrologue Hervé Mazou servait une conférence sur la mousse et le houblon. L'ami Michel Urban pouvait toujours faire des photos dans le coin, les moutons du parc Mansuy pas stressés pour un pence s'offraient une douce grasse matinée, papattes en rond et dos ronds sur l'herbe ou alors entreprenaient de déguster leurs petits-déjeuners fraîchement servi.
Le climat idyllique continuant de régner sur le FIG, Nino Ferrer aurait pu chanter « Le Sud » et Trenet « Nationale 7 ». En se baladant sur les jardins et espaces verts encore fleuris, à deux pas de la Tour de la Liberté déjà prise d'assaut par les visiteurs, Jo Dassin aurait fredonné « L l'été indien » alors que Georges Brassens aurait lui peut-être réécrit une version de ses « Bancs publics ». On pouvait en effet y rencontrer, chacun assis sur son banc, un joueur d'harmonica, une dame lisant Vosges Matin, un homme en train de téléphoner, un autre mangeant son croissant... Avec tout cela, et même si quelques-uns bossaient déjà, Jacques Dutronc aurait revu son titre pour chanter... « Il est 10 h, Saint-Dié s'éveille ! »

Josée TOMASI

On peut voyager derrière son bureauCe matin 11h, remise du prix Amerigo Vespucci adultes parrainé par le Crédit Mutuel Enseignant et sous la présidence d'Abdelkadder Djemaï, fidèle parmi les fidèles, à Laurent Mauvignier pour son livre « Autour du monde », Editions de Minuit. Ce livre rassemble 14 histoires qui toutes convergent vers le tsunami de 2011, «se situant ainsi dans le droit fil du FIG» selon David Valence, maire. Laurent Mauvignier s'est dit « ravi de ce prix mais également surpris, car il n'est pas un grand voyageur … alors, recevoir un prix de géographie c'est, pour lui, prouver que l'on peut aussi voyager derrière son bureau ».

Fabienne Schneider

Oups ! Je m'suis oubliée...A l'heure où les derniers café géo se terminent et les hôtels se remplissent, une fenêtre d'un bureau de l'Hôtel de Ville reste allumée.
En effet, le "petit journal du FIG" comme les festivaliers l'appellent, est en route. L'équipe, dont je fais partie, s'active pour résumer la journée, en mots et en images...
Un texte de 1000 caractères sur Alex Taylor ? OK, c'est rédigé ! Relecture effectuée. Les photographes, sortez-nous une belle photo !
Tous les éléments sont réunis pour commencer le maquettage, ma partie d'infographiste. Entre un coca (avec de la caféine cela va de soi) et une part de pizza, le numéro 2 du "5 continents à la Une" prend forme et arrive vite chez l'Ormont Imprimeur qui livrera les 6000 exemplaires à coup sûr le lendemain matin, de bonne heure, et de bonne humeur. Un seul hic toutefois, non pas par humilité mais par manque de sommeil, j'ai complétement oublié d'inscrire mon nom dans l'ours (l’« ours » est un petit pavé qui recense le nom des collaborateurs ayant participé à la fabrication de l'imprimé). Pas de problème, l'important c'est le travail d'équipe, celui-là même qui fait du FIG une vraie réussite !

Orély ANNEHEIM