Chercheur à Paris 7 et enseignant à Saint-Pierre de La Réunion, Vincent Capdepuy (né en 1977) appartient à cette prometteuse génération de géohistoriens suscitée par Christian Grataloup. Adepte d'une histoire mondiale qui envisage les sociétés humaines dans leur relation à l'espace, aux milieux et aux territoires, il s'est fait remarquer par son premier essai « 50 histoires de mondialisations : de Néandertal à Wikipédia » (Alma, 2018), plébiscité par la presse. Il est le cofondateur avec Laurent Testot du blog « Histoire globale ».

« Chroniques du bord du monde. Histoire d'un désert en Syrie, Irak et Arabie »
aux éditions Pavot

« 50 histoires de mondialisations : de Néandertal à Wikipédia »
aux éditions Alma

Élise Fischer est née à Champigneulles en Lorraine d’un père lorrain et d’une mère alsacienne. Elle est l’autrice de nombreux romans parus aux Presses de la Cité, chez Fayard et chez Calmann-Lévy. Feuille d’Or de la Ville de Nancy en 2001, elle est une plume emblématique de la Lorraine.

« Madeleine et le dessert du roi Stanislas »
aux éditions Feuilles de menthe

Autrice et grande voyageuse, passionnée par le monde des plantes et spécialisée en communication scientifique, Katia Astafieff a parcouru une cinquantaine de pays en solitaire. Après avoir écrit des ouvrages pour la jeunesse et un roman, elle publie « Comment voyager seule quand on est petite, blonde et aventureuse » (Pocket 2018, Editions du Trésor 2016) puis « Comment voyager dans le Grand Nord quand on est petite, blonde et aventureuse- » (Pocket, septembre 2021, Editions du Trésor, février 2020). Elle est aussi l’autrice du documentaire l’« Aventure extraordinaire des plantes voyageuses », aux Editions Dunod (2018), où elle raconte avec humour dix fabuleuses histoires de plantes et d’explorateurs. En 2021 paraît également chez Dunod « Mauvaises graines, la surprenante histoire des plantes qui piquent, qui brûlent et qui tuent » où elle révèle avec humour les secrets de quelques plantes redoutables. Dans son dernier ouvrage, « La fille qui voulait voir l’ours », paru chez Arthaud en février 2022, elle nous emmène vivre une incroyable aventure dans les Appalaches canadiennes.

« La fille qui voulait voir l'ours »
aux éditions Arthaud

« Mauvaises Graines, la surprenante histoire des plantes qui piquent, qui brûlent et qui tuent »
aux éditions Dunod

Alice Chemama est une artiste-autrice diplômée de l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris en 2017. Elle réalise pour son diplôme un court-métrage d'animation en technique traditionnelle et compositing : « Holy Chic ». Sa bande-dessinée « Les Kangourous de l'Apocalypse », fruit d'une expérience dramatique avec des marsupiaux, lui ouvre les portes de l'édition dès sa sortie de l'école. Son premier album, « Les Zola », scénarisé par Méliane Marcaggi, paraît en 2019 chez Dargaud.

Une résidence chamboulée par la crise sanitaire donne naissance en 2022 à un second album, dont elle réalise les textes et les dessins : « Dans l’Ombre du Mont-Blanc ». Elle dessine également des reportages pour la revue TOPO, La Revue Dessinée, et collabore sur des projets d’animation et d’illustration. Son travail, a été plusieurs fois distingué en concours et festival.

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« Dans l'Ombre du Mont-Blanc »
aux éditions Dargaud

« Les Zola »
aux éditions Dargaud

David Goeury est géographe, membre de l’unité de recherche « Médiations. Sciences des lieux, sciences des liens » de Sorbonne Université. Il codirige un ensemble de programmes de recherche-action transdisciplinaires sur la résilience des espaces oasiens. Il porte une attention toute particulière aux communs fonciers dans leur capacité à repenser les logiques territoriales mais aussi les rapports de pouvoir localisés. Il est par ailleurs le co-auteur de « Résonances oasiennes. Approches sensibles de l’urbain au Sahara » aux éditions MétisPresses et d’« Introduction à l’analyse des territoires » aux éditions Armand Colin.

« Résonances oasiennes. Approches sensibles de l'urbain au Sahara »
aux éditions Métispresses

Louise Mézel est autrice et illustratrice, née à Paris en 1987 et diplômée de l’ESA Saint-Luc de Bruxelles. Elle vit aujourd’hui entre Tel Aviv et Paris. Avec La Joie de lire, elle développe la série « Roland Léléfan » dont elle écrit et illustre les histoires. En 2021, elle entame une collaboration avec la Villa Médicis avec son hors série « Roland Léléfan l’artiste » pour lequel elle réside plusieurs fois à l’Académie de France à Rome. Aujourd’hui, ses livres « Roland Léléfan » sont traduits dans de nombreuses langues. Louise a aussi illustré plusieurs projets jeunesse dans des domaines variés : le théâtre, la presse, l’édition (« Les Nouvelles Aventures de Cookie » de Martine Laffon, « La tour penchée de la Vermondie » de Pierre Fanlac, « Ici très loin d’Ailleurs » de Isabelle Mimouni). Ses illlustrations et lithographies ont été exposées à plusieurs reprises (OCDE, Institut Français de Tel Aviv...).

« Roland Léléfan à la plage »
aux éditions La Joie de lire

« Roland Léléfan l'artiste »
aux éditions La Joie de lire

Louise Mézel est autrice et illustratrice, née à Paris en 1987 et diplômée de l’ESA Saint-Luc de Bruxelles. Elle vit aujourd’hui entre Tel Aviv et Paris. Avec La Joie de lire, elle développe la série « Roland Léléfan » dont elle écrit et illustre les histoires. En 2021, elle entame une collaboration avec la Villa Médicis avec son hors série « Roland Léléfan l’artiste » pour lequel elle réside plusieurs fois à l’Académie de France à Rome. Aujourd’hui, ses livres « Roland Léléfan » sont traduits dans de nombreuses langues. Louise a aussi illustré plusieurs projets jeunesse dans des domaines variés : le théâtre, la presse, l’édition (« Les Nouvelles Aventures de Cookie » de Martine Laffon, « La tour penchée de la Vermondie » de Pierre Fanlac, « Ici très loin d’Ailleurs » de Isabelle Mimouni). Ses illlustrations et lithographies ont été exposées à plusieurs reprises (OCDE, Institut Français de Tel Aviv...).

« Roland Léléfan à la plage »
aux éditions La Joie de lire

« Roland Léléfan l'artiste »
aux éditions La Joie de lire

Louise Mézel est autrice et illustratrice, née à Paris en 1987 et diplômée de l’ESA Saint-Luc de Bruxelles. Elle vit aujourd’hui entre Tel Aviv et Paris. Avec La Joie de lire, elle développe la série « Roland Léléfan » dont elle écrit et illustre les histoires. En 2021, elle entame une collaboration avec la Villa Médicis avec son hors série « Roland Léléfan l’artiste » pour lequel elle réside plusieurs fois à l’Académie de France à Rome. Aujourd’hui, ses livres « Roland Léléfan » sont traduits dans de nombreuses langues. Louise a aussi illustré plusieurs projets jeunesse dans des domaines variés : le théâtre, la presse, l’édition (« Les Nouvelles Aventures de Cookie » de Martine Laffon, « La tour penchée de la Vermondie » de Pierre Fanlac, « Ici très loin d’Ailleurs » de Isabelle Mimouni). Ses illlustrations et lithographies ont été exposées à plusieurs reprises (OCDE, Institut Français de Tel Aviv...).

« Roland Léléfan à la plage »
aux éditions La Joie de lire

« Roland Léléfan l'artiste »
aux éditions La Joie de lire

Julie Meyer (née en 1982) est plasticienne, diplômée de l’École Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg (HEAR) en 2007. Ses travaux ont été présentés dans différents centres d’art (Galerie Art & Essai à Rennes, Pollen à Montflanquin, La Filature à Mulhouse) et à l’occasion de plusieurs festivals nationaux et internationaux (Les Photaumnales à Beauvais, Les Nuits Photographiques à Paris, Cutlog à Paris et New York). Elle réalise actuellement un film documentaire intitulé Icarus produit par Les 48° Rugissants et coproduit par La Chaîne Parlementaire, Tébéo, TVR et Tébésud. Le film suit deux communautés aux forts antagonismes qui sont séparées par une frontière dans le désert du Grand Bassin aux États-Unis. Icarus a reçu le soutien du CNC et de la Région Bretagne.
En parallèle de sa pratique d’artiste, Julie Meyer est inscrite en doctorat Recherche et Création à l’Université Jean Monnet de Saint Etienne. Ce double parcours professionnel lui confère une connaissance pratique et théorique de la photographie. Elle y mène un travail plastique intitulé Cyber Ghost Town, s’intéressant à la construction d’un gigantesque data center dans le Nevada aux États-Unis. Le volet académique de sa thèse explore « la photographie de terrain à l’épreuve des fenêtres numériques » sous la codirection de Danièle Méaux, professeur en esthétique et sciences de l’art, photographie et Thierry Joliveau, professeur en géographie.
Sa thèse poursuit les recherches entreprises dans le cadre de son mémoire de Master 2, dirigé par l’historienne de la photographie Nathalie Boulouch. Celui-ci interroge l’influence de l’image photographique dans la fabrication du mythe de la Frontière aux États-Unis et le rôle de l’appareil photographique en tant qu’appareil politique et dispositif colonisateur. Ce texte fera l’objet d’une publication aux éditions L’Harmattan.