Inês d’Almeÿ s’intéresse à la géographie du corps et des perceptions. Elle voit dans l’écriture une cartographie sensorielle.
Auteure franco-portugaise, elle écrit dans les deux langues différents types de textes : des instantanés poétiques, des nouvelles, et surtout des textes jeunesse. Pédagogue et quadrilingue, elle enseigne aussi les langues.
A travers sa pratique de la performance, de la danse et du yoga, elle a développé une approche du corps comme mouvement en relation avec un environnement donné. La pratique de la méditation et de la marche en pleine nature sont venues compléter cette vision géographique des sens.
Puisqu’on lui dit depuis toute petite qu’elle n’arrête pas d’inventer des histoires et qu’elle devrait se tenir tranquille, elle a bien sûr fait le contraire. Elle a publié en portugais son premier album jeunesse intitulé Céu de Sardas (Ciel de rousseur) aux éditions Bruaá en 2016, depuis publié en Italie aux éditions Settenove sous le titre de Un Cielo di lentiggini. Son premier album écrit en Français, Arrête d’inventer, a été publié aux éditions Gautier-Languereau en 2017. Son dernier album Les bruits de la ville est sorti en 2018 aux éditions du Ricochet et en Corée du Sud en 2021 aux éditions EduNtech.
Ayant vécu entre Londres, Lisbonne et plusieurs voyages en Asie, c’est près de Lille qu’elle a désormais trouvé ses pénates espérées. 

Originaire des montagnes jurassiennes, Marion fait ses études entre la France et la Suisse voisine, où elle se spécialise dans les arts graphiques et l’illustration. Inspirée par ses voyages et ses engagements associatifs, elle développe un univers autour des thématiques qui lui sont chères depuis toujours : la nature et l’humain, le rêve et l’enfance. Oscillant entre ligne claire et aplats de couleurs vives, elle crée des images douces et franches pour raconter ses histoires.

Philippe Nessmann a toujours eu trois passions : les sciences, l’histoire et l’écriture. Après l’obtention d’un diplôme d’ingénieur des Arts et Métiers et d’une maîtrise d’histoire de l’art, il s’est lancé dans le journalisme, notamment pour Science et Vie Junior. Aujourd’hui, il travaille uniquement pour l’édition jeunesse, souvent avec les sciences et l’histoire en toile de fond.

Il est l’auteur d’une quarantaine de documentaires, parmi lesquels « Eternité, demain tous immortels ? » (éd. La Martinière Jeunesse), « Dans tous les sens » (éd. Seuil Jeunesse) et « Phénoménal, la nature spectaculaire » (éd. Milan). Il a aussi écrit treize romans historiques pour Flammarion Jeunesse (« La Fée de Verdun », « Une fille en or », « Champollion et les trésors d’Egypte »…) et deux albums : « Le Village aux mille roses » (éd. Flammarion) et « Il y avait une maison » (éd. La Cabane bleue).

Après des études d'Arts Plastiques, Olivier Melano s'oriente vers la peinture et la gravure. Après quelques expériences comme illustrateur pour la presse, il oblique vers la littérature de jeunesse après la naissance de sa première fille. Sa rencontre, en 1994, avec l'éditeur Marcus Osterwalder est déterminante et il a créé, pour la collection Archimède -  l'École des Loisirs, une vingtaine d'albums dont il est à la fois l'auteur et l'illustrateur.

Capucine Mazille expose ses œuvres non seulement en France, mais aussi en Suisse, en Italie et en Hollande dont elle est originaire. Elle apprécie la gaieté, l’humour, la fantaisie. Ses aquarelles puisent leur inspiration dans la poésie et les contes. Elle se partage entre l'illustration d'albums documentaires et de bandes dessinées.

Petite, je me rêvais vétérinaire, éleveuse de vaches, océanographe. Je ne me suis jamais lassée de contempler la nature, et j’avoue qu’il m’est arrivé de me lever au milieu de la nuit pour tenter d’apercevoir un cerf dont le brame, dans la forêt juste derrière chez moi, avait troublé mon sommeil.

Des études d’écologie marine, Au Québec et à Brest, m’ont fait réaliser que je préférais transmettre la science plutôt que la produire. J’ai donc rejoint l’École de journalisme de Lille, pour apprendre les bases du journalisme scientifique. J’ai alors pris conscience que « faire de la science » consiste à chercher non pas une vérité absolue mais un éclairage sur le monde, que ses paradigmes peuvent être discutés, remis en cause et, finalement, changés… Une révélation.

Durant une quinzaine d’années, j’ai exercé le métier de journaliste indépendante, produisant des enquêtes, des interviews, des reportages sur la nature, l’environnement, les sciences de la vie pour la presse jeunesse et adulte : Science et vie Junior, Phosphore, Okapi, Pomme d’Api, Ca m’intéresse... Ce fut aussi une période de merveilleux voyages auprès de naturalistes ou dans des sites préservés, pour le magazine Terre Sauvage : Malaisie, Philippines, Vanuatu, Iles Shetland …

Après la naissance de mes enfants, j’ai commencé à mettre ma plume au service d’institutions publiques : CNRS, Inserm, Office français pour la biodiversité… C’est pour ce dernier que mon cœur a vibré le plus fort, et je suis désormais l’une de leurs rédactrices régulières.

Mais mon dada, ma passion, ma marotte, ce sont les livres ! Je les aime et j’aime les imaginer, les rédiger, y travailler avec des éditeurs, des photographes et des illustrateurs. Une rencontre avec Natalie Vock-Verley, directrice des éditions du Ricochet, m’a fait entrer dans l’univers des livres jeunesse. Depuis, nous avons réalisé ensemble une dizaine d’ouvrages.

Lorsque j’écris, j’essaie de donner aux lecteurs l’envie de prendre soin de la nature comme d’une personne chère, d’un membre de sa famille. Pour cela, j’aime miser sur l’émerveillement et la connaissance plutôt que sur les données alarmistes. Il y a bien assez d’angoisse et de culpabilisation dans ce monde ! J’aime aussi ciseler mes textes longuement, les pétrir comme de la pâte à pain et y mettre quelques grammes de poésie.

Enfin, comme je suis bavarde et que j’aime les rencontres, j’adore en discuter avec les enfants. Ces rencontres et ces échanges sont toujours une source de surprises et de joie. Par leur sensibilité, leur ouverture, ces jeunes lecteurs nourrissent mon énergie, et rechargent mon réservoir d’espoir pour l’avenir.

Petite, je me rêvais vétérinaire, éleveuse de vaches, océanographe. Je ne me suis jamais lassée de contempler la nature, et j’avoue qu’il m’est arrivé de me lever au milieu de la nuit pour tenter d’apercevoir un cerf dont le brame, dans la forêt juste derrière chez moi, avait troublé mon sommeil.

Des études d’écologie marine, Au Québec et à Brest, m’ont fait réaliser que je préférais transmettre la science plutôt que la produire. J’ai donc rejoint l’École de journalisme de Lille, pour apprendre les bases du journalisme scientifique. J’ai alors pris conscience que « faire de la science » consiste à chercher non pas une vérité absolue mais un éclairage sur le monde, que ses paradigmes peuvent être discutés, remis en cause et, finalement, changés… Une révélation.

Durant une quinzaine d’années, j’ai exercé le métier de journaliste indépendante, produisant des enquêtes, des interviews, des reportages sur la nature, l’environnement, les sciences de la vie pour la presse jeunesse et adulte : Science et vie Junior, Phosphore, Okapi, Pomme d’Api, Ca m’intéresse... Ce fut aussi une période de merveilleux voyages auprès de naturalistes ou dans des sites préservés, pour le magazine Terre Sauvage : Malaisie, Philippines, Vanuatu, Iles Shetland …

Après la naissance de mes enfants, j’ai commencé à mettre ma plume au service d’institutions publiques : CNRS, Inserm, Office français pour la biodiversité… C’est pour ce dernier que mon cœur a vibré le plus fort, et je suis désormais l’une de leurs rédactrices régulières.

Mais mon dada, ma passion, ma marotte, ce sont les livres ! Je les aime et j’aime les imaginer, les rédiger, y travailler avec des éditeurs, des photographes et des illustrateurs. Une rencontre avec Natalie Vock-Verley, directrice des éditions du Ricochet, m’a fait entrer dans l’univers des livres jeunesse. Depuis, nous avons réalisé ensemble une dizaine d’ouvrages.

Lorsque j’écris, j’essaie de donner aux lecteurs l’envie de prendre soin de la nature comme d’une personne chère, d’un membre de sa famille. Pour cela, j’aime miser sur l’émerveillement et la connaissance plutôt que sur les données alarmistes. Il y a bien assez d’angoisse et de culpabilisation dans ce monde ! J’aime aussi ciseler mes textes longuement, les pétrir comme de la pâte à pain et y mettre quelques grammes de poésie.

Enfin, comme je suis bavarde et que j’aime les rencontres, j’adore en discuter avec les enfants. Ces rencontres et ces échanges sont toujours une source de surprises et de joie. Par leur sensibilité, leur ouverture, ces jeunes lecteurs nourrissent mon énergie, et rechargent mon réservoir d’espoir pour l’avenir.

Depuis toute petite, Emmanuelle Grundmann est attirée par la découverte d’autres cultures, les animaux, la nature qui l’entoure et la littérature. Elle suit sa voie et devient biologiste, naturaliste, primatologue… et auteure !

Elle parcourt le monde, partage ses découvertes afin de contribuer à la sauvegarde de la biodiversité, des primates et de leurs forêts, des droits des peuples autochtones…

En parallèle, elle anime de nombreuses conférences sur ses sujets de prédilections et propose des ateliers pour enfants sur la nature et les animaux.